Confrontés à une dure répression dans le pays et à une aide relativement faible de la part de la communauté internationale, les militants pro-démocratie et les défenseurs des droits de l'homme en Azerbaïdjan sont pour le moins isolés et démunis.
Les mesures répressives introduites en 2014 à l'égard des mouvements dissidents ne cessent de s'intensifier. Des dizaines de journalistes, bloggeurs indépendants et défenseurs des droits de l'homme ont été jetés en prison. Nombre d'avocats indépendants ayant assuré la défense d'activistes de l'opposition ont été radiés du barreau et les médias indépendants contraints de fermer.